| | ✝ CTRL + V | |
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ODIN father of all.
Citation : . Date d'inscription : 01/10/2014 Messages : 52 Avatar : the Evil Crédits : cherokee rose.
| Sujet: ✝ CTRL + V Lun 18 Mai - 16:49 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ✝ CTRL + V Mar 30 Juin - 22:37 | |
| La voix de cet homme était effroyable. Elle était rauque, mesquine, les intonations étaient travaillées pour faire peur. L'homme, l'agresseur devait travailler depuis longtemps la peur, la frayeur qu'il pouvait provoquer chez les autres. Petit déjà, il était le gros dur dans la cour de récréation qui volait les déjeuners des plus faibles et qui se faisait adorer par les autres garçons. On ne naît pas méchant, on le devient, on le cultive. Et c'est souvent dans la plus tendre enfance que certains des couples les plus pervers se forment, car bien souvent les 400 coups sont fait à deux, à plusieurs, on n'existe que dans le regard de l'autre, que dans l'admiration, le défi, le dégout de l'autre. Autant dire, que ça ne surpris pas Alexis l'existence d'un deuxième homme. Un autre taré dans la nature. "Non, ne les abime pas. Pas tout de suite. Je suis sûr qu'on peut s'amuser un peu avec elles, avant. Et ensuite, on lui demandera où elle les cache." On lui demandera où elle les cache. Cette fin de phrase déclencha la plus grande curiosité dans l'esprit tordu d'Alexis. Ces hommes ne lui disait rien, rien qui vaille non plus d'ailleurs. Elle ne les avait jamais croisé, c'est sûr. Alors mis à part vouloir les salir, elle ne savait pas ce qu'ils voulaient.
Rien dans le magasin ne laissait entendre qu'il avait bien plus. Ce n'était que de l'alimentaire, que des produits de la vie de tous les jours, un petit commerce qui n'a de l'importance que pour les gens du quartier. Elle ne vendait rien qui fut plus cher qu'une dizaine de dollars, rien de plus que le strict nécessaire. Prise dans ces pensées, sa main dans celle de Delinah, elle ne sentit pas que cette étreinte disparu. Et ce n'est que par le bruit et les cris, qu'elle réalisa ce qu'il se passait. Telle une folle hystérique, sa collègue s'était jetée sur le maigrichon. Ce fut rapide. A tel point qu'Alexis eut du mal à comprendre, à réceptionner les informations en temps et en heure. "vas-t-en Alexis!" Ce cri, ce sacrifice fit pâlir l'humaine, elle prit peur et voulu partir, se retourner et prévenir quiconque aurait pu l'aider. Cependant, ce même cri avait surpris le gros, l'horrible cambrioleur, la tête ou la brute, elle ne l'avait pas encore identifier. Il lui bloqua le passage grâce à l'un de bras musclé à la testostérone. Il colla son corps contre celui de la jeune femme. Il eut ce sale sourire.
C'est un orage de haine, de colère et de rage qui prit part de la petite blondinette qui n'était pas du genre à se laisser facilement emportée. Elle tenta avec ses petits muscles de jeune femme à se libérer d'une emprise trop forte pour elle. Tous les coups étaient permis, coups de pieds, de poings, de tête, morsure. Mais c'était bien trop fort pour elle. On ne sait trop comment, Alexis releva la tête. Une sirène se fit entendre au loin. Une patrouille de police. C'était assez fréquent, ils n'en faisait pas beaucoup, mais les policiers aimaient bien en jeter plein la vue. Montrer qu'ils sont là. Alexis eut alors un mouvement de soulagement, ses muscles précédemment crispés se relâchèrent. Malgré ça, les deux cambrioleurs eurent le même réflexe, ils prirent les jeunes femmes par leurs colbacks et les trainèrent vers le fond du magasin. Même en se débâtant de toutes ses forces, l'homme la retenait.
Le seul problème c'est que c'était le magasin d'Alexis et non de ces deux hommes. L'emmener dans le fond du magasin était une mauvaise solution, car l'année précédente, il y avait eu ces bruits étranges, ces objets qui tombaient tous seuls, qu'elle avait attribué à une personne ayant des capacités extraordinaires, certainement une capacité d'invisibilité. Elle n'en savait rien car elle était humaine, Alexis essayait au maximum de ne pas les côtoyer sans pour autant les dénigrer. Les mutants lui faisait peur. Ils étaient à l'origine de son mal être. La jeune commerçante ne pouvait pas mettre de visages, ni même de noms à son horreur. En tout cas, elle se doutait qu'une personne se faufilait tous les soirs pour faire ces courses à l'œil. De ce fait, elle avait truffé l'arrière boutique d'une certaine technologie pour pouvoir voir se qu'il se passait dans son magasin, pouvoir alarmer les gendarmes s'il y avait un problème. C'est ainsi que lorsqu'ils arrivèrent dans le fond du magasin, elle se débattait moins. Malheureusement, le bouton qui permettait la sureté était du côté de Delinah qui n'avait aucune idée de se qu'il se passait. Allez faire comprendre à une personne qui ne vous connait pas tant que ça dans l'intimité, avec des gestes peu significatifs, que leur unique aide était de son coté. Alors, Alexis fixait alors Delinah dans les yeux puis furtivement lui montrer le bouton assez bien dissimuler. Mais à chaque fois, il y avait quelque chose qui faisait que les deux jeunes femmes ne se comprenaient pas. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ✝ CTRL + V Mer 1 Juil - 10:43 | |
| - Code:
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[rand]25[/rand] (en code, sinon vous ne voyez pas de quoi il s'agit. ) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ✝ CTRL + V Mer 1 Juil - 11:08 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ✝ CTRL + V Mer 1 Juil - 14:58 | |
| - Citation :
- Équipe verte : 0 points.
Équipe orange : 0 points. Équipe bleue : 0 points. Équipe rouge : 0 points. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ✝ CTRL + V Jeu 2 Juil - 22:14 | |
| (Je sais d'où Niels a tiré ce c/c ) (En spoiler parce que trop long)- Spoiler:
Complètement inconscient de la douleur qu'il avait infligée à Roanne sans s'en rendre compte, Andreas lui fit conscience lorsqu'elle affirma que même une lame émoussée était capable de couper. Il n'aimait pas avoir tort ou être pris en défaut, bien sûr, mais pour une fois, il devait bien reconnaître qu'il s'agissait là d'un domaine où il était totalement incompétent. Il ne savait pas trop ce que Roanne pouvait faire avec ce genre d'armes, mais il savait que les jeunes femmes en portaient parfois pour se protéger. Compte tenu du passé récent de Roanne, cela pouvait se comprendre : elle n'avait pas envie de se faire agresser une seconde fois. Du moins, c'était ce qu'Andreas supposait. Il avait toujours été trop insouciant de sa propre sécurité pour se poser ce genre de question. La plaisanterie douteuse de Roanne arracha un maigre sourire à Andreas. Il commençait à comprendre ce genre d'humour - peut-être pas à l'apprécier, c'est vrai, mais à savoir qu'il fallait vraiment le prendre au second degré. Une fois qu'on en avait conscience, converser avec Roanne était beaucoup plus agréable. Des handicapés, des personnes qui avaient des pouvoirs, des personnes qui étaient les deux à la fois... on croisait vraiment de tout, dans cette ville, songea Andreas. Il s'en frottait déjà les mains : il avait les moyens de réaliser les plus belles affaires de sa carrière. Roanne fit alors référence à la très récente conférence, trouvant apparemment très drôle la façon dont elle s'était déroulée. Pour Andreas ça l'avait été un petit peu moins, mais il avait vécu la conférence différemment. Lui était persuadé que la vérité ne serait jamais révélée et que tout n'avait été qu'une mascarade pour apaiser la population. Roanne, elle, avait vu ce qui s'était vraiment passé... ce qui fit dire à Andreas qu'on pouvait se montrer vraiment naïf quand on ignorait les choses. Pas de doute, la connaissance était une arme redoutable. Et le meilleur dans l'histoire, c'est qu'il commençait peu à peu à la faire sienne. Peu importait s'il était naïf actuellement : l'essentiel, c'était ce qu'il pouvait faire pour y remédier. Et quand il voyait toute la distance qu'il avait déjà parcourue, il était déjà très fier de lui.
« Une démonstration à la conférence, répéta Andreas en essayant de songer aux possibles implications de cet acte. Vous seriez devenue un emblème, c'est certain, du moins, pour tous ceux qui étaient présents. Car vous savez, pour ceux qui n'étaient pas là, il y a toujours moyen de brouiller l'information... En tout cas, c'est comme ça qu'on fonctionne dans mon métier : quand on a une idée géniale, on la garde bien pour soi et on fait la chasse aux fuites. Tout est une question d'image, dira-t-on. » dit-il pour conclure sa leçon.
Andreas n'était peut-être pas doué pour trouver les informations, mais il savait très bien les manipuler et troubler leur diffusion. Rien de plus facile quand vous pouvez contrôler les sources d'émission. Si lui, Andreas, un simple homme d'affaires, y parvenait plutôt bien, alors pour le maire, ce serait de la rigolade. Voilà pourquoi il détestait les politiciens. Ils étaient toujours plus doués que les hommes d'affaires. Andreas ne s'était pas demandé pourquoi Roanne lui avait fait la démonstration à lui, mais maintenant qu'elle évoquait le sujet, il se le demandait vraiment. Il n'était rien qu'un inconnu pour elle. Un inconnu qui pouvait très bien décider de la trahir - après tout, n'était-il pas venu la voir avec l'idée de trouver de quoi se faire de l'argent ? Ce n'était pas vraiment le genre de motivation qui poussait à la confiance. Andreas fut donc satisfait de voir que ce n'était pas non plus ce genre de raison qui poussait Roanne à lui montrer son pouvoir. Heureusement. Certes, l'amusement était une raison un peu frivole, et si Roanne ne s'était pas montrée si maline avec son couteau, Andreas aurait jugé utile de la mettre en garde contre ce genre d'idée. En revanche, il se permit de rectifier :
« Je ne dirais pas que je le connais. Je l'ai simplement embauché pour un travail et j'ai une certaine estime pour ses compétences. Cela s'arrête là. »
Pas question qu'elle s'imagine qu'il liait des liens d'amitié avec une relation professionnelle. Impossible pour Andreas, voyons. Dans d'autres circonstances, peut-être, mais le travail, c'est sacré. Travaillez, les enfants, ça vaut vraiment la peine. Après tout, vous avez tous envie de devenir riche comme Andreas, non ? Eh bien, c'est possible.
« Merci pour votre confiance, sinon, répondit-il en employant de lui-même le mot interdit. Je suis quand même sûr que vous auriez les moyens de vous montrer dangereuse si vous le vouliez. C'est comme moi, si je le voulais... »
Andreas ne termina pas sa phrase, mais il avait en tête le fait que s'il le voulait, il pouvait employer ses propres armes. L'influence. L'image de marque. L'économie. S'il avait décidé de se dresser contre le gouvernement plus tôt, il aurait sans doute eu plus de poids que la pauvre Anne Cafoudri, ne serait-ce parce qu'il avait réussi à inspirer la confiance à certains gens. Encore ce mot bien illusoire. À lui seul, il ne changerait pas le monde, il le savait. Mais il avait un peu plus de chance d'y arriver qu'une personne ordinaire. D'une certaine manière, c'était une idée vraiment dérangeante.
« Laissez tomber, dit-il, trop dérangé par sa propre idée. Ça n'a pas d'importance. Vous avez raison de ne pas vous mêler de ces affaires-là. Je ne vois pas ce qui pourrait en ressortir de bon. D'ailleurs... peut-être devrais-je moi-même arrêter de me préoccuper de ces pouvoirs, vous ne croyez pas ? Je peux déjà trouver bien d'autres sources d'inspiration ailleurs, chez les handicapés, par exemple, et je crois que ça serait bien moins dangereux pour mes affaires... »
De toute façon, il allait bien devoir faire un choix. Éliminer les possibilités irréalisables ou pas assez rentables. Le critère du danger en était un comme un autre, après tout.
« Oui, il y aurait déjà bien à faire, et plus facilement qu'avec les pouvoirs... »
Andreas continuait à parler à voix haute, oubliant presque Roanne était là et pouvait l'écouter. Presque. Car lorsqu'il arriva au moment où il eut besoin d'elle, il s'adressa à elle par réflexe. Il avait l'habitude avec ses subordonnés : il y en avait toujours un ou deux pour l'écouter, et même s'il ne prêtait pas vraiment attention à eux, une partie de son esprit savait exactement qui était présent près de lui. Il ne les oubliait jamais.
« Mais j'y pense, ils se font discrets comment, les personnes ayant un pouvoir ? Elles ne le crient pas sur les toits, j'en suis conscient, mais est-ce que vous formez une sorte de communauté, ou une chose du même genre ? Est-ce que vous avez conscience de l'existence des autres, ou bien vous le découvrez totalement par hasard ? »
Ah, décidément, il avait bien du mal à abandonner l'idée des pouvoirs. Andreas ne pouvait s'en empêcher : il jugeait l'information bien trop intéressante. Il aurait aimé attaquer sur deux fronts en même temps, mais cela s'avérait souvent trop compliqué. Une idée à la fois, se disait-il tout le temps, et une fois qu'on a fait un choix, on s'y tient. Alors pourquoi n'y arrivait-il pas dans le cas présent ? Pourquoi son cerveau était-il autant en ébullition ? Il ne savait pas trop ce qui se passait, mais c'était vraiment un phénomène étrange. Était-ce l'effet de la révélation de ce nouveau monde enfoui sous la surface des choses ?
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ✝ CTRL + V Ven 3 Juil - 22:15 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ✝ CTRL + V Ven 3 Juil - 22:57 | |
| - Citation :
- Il baissa finalement la tête, les yeux baissés vers ses mains posées sur ses jambes... « Je... » Il se racla la gorge car sa voix partait en couilles à cause de l'émotion. « Je regrette tellement... Je suis tellement désolé. » Lâcha-t-il avant de se lever d'un bond pour aller prendre Stellan dans ses bras. Il s'en voulait comme ce n'était pas permis et se stresse lui donnait terriblement soif de sang, mais cette soif n'était rien comparée à ses remords... Il aurait voulu remonter le temps, dire à son lui du passé de ne pas entrer dans cette pièce, de ne pas questionner Stellan sur son histoire... C'était impossible... Il allait devoir réparer sa connerie et ce n'était pas le genre qu'on pouvait réparer facilement. Ce n'était pas juste, il aurait bien échangé la vie de sa famille contre celle de Stellan... Mais il ne l'aurait jamais connu... Car c'était surement à cause de ça qu'il était devenu un vampyr et selon l'artiste c'était aussi ce qui lui avait donné son inspiration... Du coup, sans ce meurtre, il n'aurait jamais exposé, ils ne se seraient jamais rencontrés et Aksel serait peut-être en train de pourrir dans une cave séquestré par un type chelou... Dans le fond, ce n'était pas important, si ce n'était pas Stellan qui le sauvait dans cette version alternative de leur histoire, alors autant rester enfermé pour toujours... Il ne voulait pas d'une vie alternative pour lui, il ne voulait que Stellan et il avait peur que celui-ci le foute à la porte... Il avait peur de le perdre, de le faire souffrir, il avait peur de perdre la meilleure chose qui lui était arrivée dans sa vie de merde... Enfin c'était relatif, il devait surement s'estimer heureux par rapport au blond... Mais c'était difficile étant donné qu'il haïssait tellement sa famille lui.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ✝ CTRL + V Sam 4 Juil - 12:17 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ✝ CTRL + V Mar 14 Juil - 18:36 | |
| [/code]
Oh le truc pourri >< |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ✝ CTRL + V Mar 14 Juil - 21:01 | |
| Aha, mais trop. 8D Moi ça donne ça, c'mon petit Maki. - Citation :
- Makoto ne savait pas trop que penser de cet homme. Jusqu'à quel point se comportait-il de façon familière, et où s'arrêtait sa gentillesse ? Quelle distance mettait-il entre lui et les autres ? Le jeune scientifique devinait que la conversation n'allait pas être de tout repos, surtout pour quelqu'un comme lui, qui avait toujours préféré se taire et observer les autres vivre, en silence, un sourire aux lèvres. Il ne pouvait pas prétendre qu'il appréciait le psychiatre. De ce qu'il avait vu de lui, l'homme avait une attitude un peu trop assurée et un comportement difficile. Makoto n'était certainement pas taillé pour affronter quelqu'un comme lui. Aussi le mieux était-il encore de faire preuve de prudence et de ne pas se laisser abattre. S'il n'était pas favorable à une profusion de politesse, soit, il évitera les effusions. Toutefois, Makoto est cet être trop poli pour se permettre de se montrer irrespectueux vis-à-vis des autres. Il a envie de bien s'entendre avec tout le monde, peut-être est-ce mal. Mais c'est sa façon d'agir. C'est pour cela il a envie d'aider les autres. Et c'est pour cela qu'il se forçait à rester avec Yoru. Con ou pas, cet homme pouvait l'aider à apporter des réponses à ses questions, il devait donc se faire violence.
« Va pour Mako-san. » : concède-t-il, même s'il trouve le surnom un peu étrange, à la fois familier et poli. Faisait-il un effort pour le mettre à l'aise en ajoutant le suffixe, ou était-ce son imagination ? Enfin, là n'était pas la question, pour le moment. La façon dont Yoru commença était abrupte, et si la remarque était justifiée, sa franchise était un peu déstabilisante. Makoto resta un instant silencieux, se demandant comment il était censé le prendre. S'agissait-il bien d'une critique constructive, comme il en avait l'impression, ou y avait-il une part d'attaque personnelle dans le lot ? Le psychiatre n'avait sans doute aucune raison d'en prendre ombrage, mais la manière dont Yoru présentait les choses... le faisait presque passer pour un idiot. Et, si Makoto se fichait bien de passer pour un imbécile, il aurait préféré une discussion un peu plus neutre. Il n'avait pas la moindre envie de se battre contre quelqu'un comme lui. Il n'était pas du tout sûr de pouvoir gagné... en fait, il était même plutôt persuadé de l'inverse. « Je suis parfaitement conscient de ce que vous dîtes, si cela peut vous rassurer, répondit-il avec gentillesse, estimant que c'était la seule chose qu'il pouvait faire. C'est effectivement un problème que j'ai rencontré assez vite, et l'utilisation de l'appareil devra être strictement contrôlée. » Précisément pour cela qu'il ne voulait pas la commercialiser, il ne voulait pas créer de problème à de pauvres consommateurs juste pour enrichir un peu plus le porte-monnaie de grands patrons sans scrupules. Aussi naïf que cette image pût être. « Sur le plan physique, ma collaboration avec plusieurs médecins devrait me permettre, à termes, de limiter cela, mais le risque zéro n'existe pas. » Surtout que Makoto n'avait pas suivi d'études de biologie ou de médecine, et s'il comprenait ce qu'on lui disait, il ne disposait pas de toutes les clés pour appliquer ces connaissances. Bref, la prudence était de mise, il n'y avait que dans son propre domaine où il se permettait de travailler seul. « Par impulsions électriques, expliqua le jeune homme. C'était la solution la plus facile pour moi, à vrai dire. Quant à l'effet produit, il s'agit essentiellement d'une augmentation des capacités motrices. Force accrue, en particulier, mais également une amélioration de l'agilité, de la rapidité. Le système a également été pensé afin de supporter de lourdes charges, ainsi l'organisme n'a pas à les supporter lui-même... » Il prit la feuille que le psychiatre tendait, et entra dans les détails plus complexes. Comme Yoru s'en doutait, cela s'avérait assez compliqué, chaque articulation, chaque muscle disposait de son propre système indépendant, de sorte que, si une partie de la combinaison tombait en panne, le reste continuait à fonctionner sans problème. L'inconvénient, c'est que cela compliquait considérablement le processus, donc la fabrication. Ce n'était toutefois par un problème pour Makoto. L'intelligence nécessaire pour s'y repérer, il l'avait ; quant au financement, le nom de Nagasaki lui était bien utile. Après de longues minutes d'explications, Makoto reposa le stylo, en concluant : « Et, bien sûr, il existe plusieurs systèmes de sécurité qui permettent à l'utilisateur de se débarrasser de la combinaison en cas de problèmes. J'ai prévu plusieurs types de procédures qui peuvent remplacer la commande vocale si celle-ci ne peut être utilisée. Voyez, au niveau des mains et de la tête. » Il tapota à nouveau le point qu'il avait décrit comme étant le cœur de son système, là où toutes les informations étaient concentrées, et où les ordres étaient envoyés à chaque partie indépendante. La seule partie qui ne devait jamais, jamais être endommagée. Celle qui inquiétait le plus Makoto concernant de possibles répercussions psychologiques. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ✝ CTRL + V Ven 17 Juil - 10:14 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ✝ CTRL + V Ven 17 Juil - 10:14 | |
| - Code:
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</blockquote> x) quand on fait des codes avec plein de blockquote partout |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ✝ CTRL + V Ven 17 Juil - 13:55 | |
| La revoir ici dans ce club, le regard émerveillé de l’apercevoir ainsi vêtu alors que son corps effectuait des arabesques langoureuses rythmées par l’enivrante musique qui s’échappait de façon régulière des enceintes. La jolie blonde n’avait pas pu faire autrement que d’approcher la jeune femme alors qu’une douce chaleur irradiait en son corps déjà échauffé par tout l’alcool qu’elle avait ingurgité. Quand elle était enfin arrivée à proximité de celle qui l’avait tant aimé autrefois, elle s’en était sans un mot détourné pour aller faire profiter de son corps à un de ce qu’elle pensait être ses potes. Et la raison ? Lire le paragraphe précédent si vous n’avez pas suivi, elle la détestait presque autant qu’elle la désirait. Et à choisir entre la haïr et jouir de son corps, le choix était vite fait, si vous voyez ce que je veux dire toutefois, l’un n’empêchait pas l’autre. La cadette Rutkowski rouvrit les yeux en sentant une douce main s’égarer sur l’élastique de son bas de sous-vêtement et baissa la tête immédiatement pour voir la main de son ex-petit amie y coincer un billet. C’est à peine si elle eut le temps de dire quoique ce soit ou même de réagir d’une quelconque manière, que déjà elle se faisait attirer par la jeune femme. La blonde se vit alors quitter les genoux du jeune homme pour se retrouver debout en face de la brunette, les sourcils froncé, mécontente. « Et moi qui pensez que vous aviez déjà tout vu, Miss Hemingway…», répliqua-t-elle sur le même ton alors qu’elle venait de lui dire qu’elle était pleines de surprises. Normal, si on avait une petite tendance à l’amnésie, se dit-t-elle avant de se mordre violement la lèvre en sentant la main de la jolie brune se glisser à nouveau dans sa petite culotte noir pour y glisser ce qu’elle devina être un autre billet et au passage effleurer son intimité. Un tourbillon de désir ne tarda pas à monter dans son bas ventre, la liquéfiant sur place mais elle ne se démonta pas et soutint effrontément son regard. Et si elle avait laissé paraitre son trouble, celui-ci était bien loin camouflé à présent derrière son si célèbre sourire malicieux au coin de ses lèvres rougis par le maquillage. Lentement elle releva la main, laissant courir ses doigts sensuellement dans son décolleté, son regard ne quittant pas ceux du succube qui lui faisait face. « Tout mes talents ? », elle sourit tout en reprenant son déhanché luxuriante, tournant sur elle-même afin que sa spectatrice jouisse d’une vue d’ensemble. « Encore un billet et je pense pouvoir vous offrir cela..», elle se pencha alors, lui collant son décolleté devant son si jolie visage. « En privée. », se redresse toujours en se déhanchant afin de s’assoir sur ses genoux. La jolie blonde se mordit à nouveau la lèvre en sentant la poitrine de la jeune femme contre son dos, elle avait presque envie de se retourner et d’assouvir son désir d’y gouter ou plutôt de les dévorer. Ondulant toujours des hanches, elle prit la main de Lou et la survola au-dessus de sa poitrine à elle. Puis la lacha mollement avant de se redresser, son cul lui faisant face, elle tourna simplement la tête, son sourire toujours au coin des lèvres. « Ais-je omis de dire que vous pourriez toucher ? » La jolie blonde avait conscience que le jeu auquel elles jouaient était à double tranchant. |
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| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: ✝ CTRL + V Mer 29 Juil - 17:29 | |
| - Citation :
- ohhhc Je devine la perplexité. |
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| Sujet: Re: ✝ CTRL + V | |
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